Résumé :
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L'évocation de l'art par l'écriture permet à Claude Fernandez d'affirmer sa conception artistique de la littérature. Vivaldi et Venise, Beethoven, Mozart et Vienne, Picasso, Utrillo et Montmartre... les hommes sont associés aux lieux qui ont suscité leur oeuvres. La suggestion du sublime généré par la musique et les Beaux-Arts n'exclut pas la diatribe qui s'exprime par une critique de l'architecture moderne où, à travers les siècles, se heurtent Vitruve et Le Corbusier. Débarrasser de son austérité l'histoire de la Science, lui communiquer l'affectivité, le pathétisme liés aux événements épiques et martiaux, c'est ce qu'a tenté l'auteur en un immense tableau.
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